Les samedi 31 mai et dimanche 1er juin 2014, Les Féeries du Bocage de Voulx (77) accueilleront Renaud Marhic et ses Lutins Urbains.
Le Petit Reporter de l’Imaginaire sera là-bas comme chez lui, puisque le créateur desdites Féeries n’est autre que Godo, illustrateur du tome 1 de la série : L’attaque du Pizz’ Raptor !
Comme à son habitude, le Petit Reporter n’oubliera pas de présenter à cette occasion les origines de ce Petit Peuple citadin dont il est le créateur comblé.
Au poil !
Les Lutins Urbains se lancent à la conquête de la Toile.
Ils, elles, sont des milliers de passionné(e)s à passer au crible la production littéraire française sur la blogosphère.
Les Lutins Urbains ont décidé de leur plaire…
Aujourd’hui, le tome 1 de la série Les Lutins Urbains, L’attaque du Pizz’ Raptor sur :
Voila un livre jeunesse plein d’inventivité qui dépoussière avec bonheur nos contes et légendes de Bretagne. On sourit et on rit souvent aux mésaventures du pauvre Gustave Flicman et on n’a qu’une idée : savoir comment va finir cette épopée a bord d’une voiture digne de celle de Gaston Lagaffe. Une autre trouvaille : le Psiiiit de bas de page qui permet a l’auteur de crée une complicité avec le lecteur et de le faire bien rire.
Vivement la suite !
Au poil !
Les Lutins Urbains se lancent à la conquête de la Toile.
Ils, elles, sont des milliers de passionné(e)s à passer au crible la production littéraire française sur la blogosphère.
Les Lutins Urbains ont décidé de leur plaire…
Aujourd’hui, le tome 1 de la série Les Lutins Urbains, L’attaque du Pizz’ Raptor sur :
Les Lutins Urbains, c’est une plongée dans le monde des légendes avec des Lutins et des Trolls, et cela tout en humour. Des jeux de mots à tout-va, des apartés dans lesquels l’auteur s’adresse directement au lecteur et le met en situation comme s’il faisait vraiment partie de l’histoire, et des situations très drôles dans lesquels notre héros Gustave, très terre-à-terre, découvre le monde d’Onirie, un monde peuplé de créatures féériques que seules quelques personnes peuvent voir […].
Vivement la suite !
Le Petit Reporter de l’Imaginaire : c’est oui ou c’est non ?
Exclusif : sur cette photo volée – extraite de la vidéo surveillance d’une grande galerie commerciale – le Petit Reporter de l’Imaginaire – jusque-là tranquillement attablé devant un café – se jette soudain, micro en main, sur un étrange automobiliste à foulard jaune et bonnet bleu…
– S’il vous plaît ! Cher Maître ! S’il vous plaît ! Un mot seulement !…
– Oui… oui…
– Cher Maître, on attend beaucoup du tome 2 de la série Les Lutins Urbains… Ne pensez-vous pas que, dans une perspective herméneutique, la redondance du propos puisse nuire à l’immédiateté de l’œuvre dans son immanente étrangeté ?
– Oui… oui…
– En d’autres termes, cher Maître, ne faut-il craindre un retour de flamme philologique brûlant aujourd’hui ce que hier on adorait?
– Oui… oui…
– Le proverbe ne dit-il pas : “Un bon nain vaut mieux que qui grandira” ?
– Oui… oui…
– Sans blague, alors, cher Maître… parole ?
– Oui… oui…
– Bon… bon…
À peine auront-ils terrorisé le Printemps des Livres de Loudéac, les Lutins Urbains seront dimanche 18 mai 2014, au salon Lire à Plourivo (22).
Le Petit Reporter de l’Imaginaire présentera aux jeunes Plouriviens et Plouriviennes, voire aux moins jeunes Plourivotains et Plourivotaines, le tome 1 de sa série jeunesse illustrée : L’attaque du Pizz’ Raptor.
Le samedi 17 mai 2014, les Lutins Urbains seront de la fête au Printemps des Livres de Loudéac (22), sur le thème… “Même pas peur !”
Alors là, le Petit Reporter de l’Imaginaire tient à préciser que, même pas peur… même pas peur… faut le dire vite, quand même. Parce que, vexer un lutin, c’est jamais bon, hein…
Enfin bon, chair de poule et frissons dans le dos ou pas, il dédicacera quoi qu’il en soit le tome 1 de sa série jeunesse illustrée : L’attaque du Pizz’ Raptor.
Au poil !
Les Lutins Urbains se lancent à la conquête de la Toile.
Ils, elles, sont des milliers de passionné(e)s à passer au crible la production littéraire française sur la blogosphère.
Les Lutins Urbains ont décidé de leur plaire…
Aujourd’hui, le tome 1 de la série Les Lutins Urbains, L’attaque du Pizz’ Raptor sur :
Ce roman m’a rappelé mes souvenirs de jeune lectrice quand je découvrais P.P. Cul-vert puis, plus tard, les ouvrages de Roald Dahl. Pourquoi cette nostalgie ? Parce que le récit de Renaud Marhic a le grand mérite d’exister d’abord pour le plaisir du lecteur, en herbe ou pas. Dès les premières pages on rentre dans une aventure bourrée d’humour et d’originalité. D’un style ferme et honnête, l’auteur nous autorise à partir dans un délire jubilatoire : jeux de mot, absurde et hommage à la culture folklorique dont monsieur Marhic ne trahit jamais l’esprit. Son amour des légendes transparaît réellement au fil des pages. […]
‘L’attaque du Pizz’Raptor’ est donc un roman que je conseille aux enfants parce qu’il saura éveiller chez eux ce plaisir décomplexé de jouer avec les mots, l’imaginaire et les mythes. Petite qualité bonus, l’enfant n’est pas considéré comme un crétin – ce qui hélas est parfois le cas dans les bouquins jeunesse, si, si… Le vocabulaire est riche sans pour autant se placer hors de portée d’un bon lecteur de 8 ans.
Au poil !
Les Lutins Urbains se lancent à la conquête de la Toile.
Ils, elles, sont des milliers de passionné(e)s à passer au crible la production littéraire française sur la blogosphère.
Les Lutins Urbains ont décidé de leur plaire…
Aujourd’hui, le tome 1 de la série Les Lutins Urbains, L’attaque du Pizz’ Raptor sur :
Une fois le livre commencé, les pages tournent toutes seules. Difficile de résister à l’humour décapant présent dans cet ouvrage […].
L’histoire est complètement déjantée et nous emporte très vite sur la trace de ces fameux Lutins Urbains. Alors qu’ils sont des êtres de légende qui ne devraient pas exister, Gustave, notre policier, va découvrir qu’ils ne font pas seulement partie de notre folklore, mais que grâce à nos croyances ils existent vraiment. Du coup, de quiproquos en situations rocambolesques, notre pauvre Gustave va en perdre son latin.
Si je me suis régalée en tant qu’adulte, je pensais le faire découvrir à certains de mes patients adolescents. […] Je me réjouis déjà d’avoir leur avis, car je pense qu’ils devraient eux aussi se régaler.
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