Les Lutins Urbains dans la blogosphre-2Au poil !

Les Lutins Urbains se lancent à la conquête de la Toile.

Ils, elles, sont des milliers de passionné(e)s à passer au crible la production littéraire française sur la blogosphère.

Les Lutins Urbains ont décidé de leur plaire…

Aujourd’hui, les tomes 1 et 2 de la série Les Lutins Urbains, L’attaque du Pizz’ Raptor et Le dossier Bug le Gnome, sur :

Songes d’une Walkyrie

Songes d’une Walkyrie

Le roman est fun et très déjanté, empli d’une folie féérique et devrait plaire à la jeunesse. Il est également bourré de clins d’oeil sur notre société de surconsommation avec de nombreuses références aux marques notamment qui ont, dans le roman, le monopole des grandes institutions, sur la nature aussi, d’ailleurs les humains n’ont qu’à bien se tenir, à envahir de plus en plus l’espace naturel des lutins, forcément, ces derniers viennent à leur tour enquiquiner les hommes…). On alterne entre le monde réel et le monde féerique […].

L’auteur participe aussi très activement à notre lecture en intervenant par des ‘Psiiiiit’ où il détaille, apprend ou encore prévient de certaines choses, un concept plutôt sympathique qui nous entraîne davantage dans le reportage du Petit reporter de l’Imaginaire et maintient en continu une dynamique ainsi que l’attention du lecteur. L’écriture est très fluide et le récit sans temps mort car il est plutôt riche en action […].

En bref un roman jeunesse très dynamique, plein d’humour et en même temps riche en clins d’œil et réflexion sur notre société. Une lecture à conseiller sans aucune hésitation et sans aucune modération à vos pré-ados !

Dans [le] second opus qui allie toujours autant humour loufoque et enquête policière […] un drôle de bonhomme habillé en pyjama rouge semble s’attaquer à la technologie locale, affectant particulièrement toutes les sources d’énergie du secteur […].

On peut y voir une nouvelle fois un regard sur notre société de surconsommation, dont ici la technologie et le numériques sont visés. Quelque chose faite de manière intelligente et ironique pour amener le jeune lectorat à réfléchir sur le sujet. C’est un peu une espèce de satyre de ces ‘jouets’ dont on use et abuse, et qui lorsqu’ils posent des problèmes de fonctionnement nous rendent défaillants […].

En bref, une nouvelle enquête digne de la première, les personnages d’Onirie ont davantage de présence, l’humour est toujours au rendez – vous et ces petits êtres que l’on appelle Lutins Urbains sont toujours aussi tordants et, disons – le, désagréables pour les hommes ! (personnellement, je les adore !) Un second opus qui garde des ingrédients qui, une nouvelle fois, fonctionnent à merveille.