Le Petit Reporter de l’Imaginaire a tiré les rois sous le regard attentif du Pizz’ Raptor (à gauche sur la pizza), ici révélé par le procédé de la photographie infrarouge.
Messages étiquettés petit reporter imaginaire
Godo, illustrateur des Lutins Urbains, vous adresse ses vœux…
Le Petit Reporter de l’Imaginaire n’aurait pas dit mieux !
Le Petit Reporter de l’Imaginaire dédicacera le tome 1 de sa série Les Lutins Urbains : L’attaque du Pizz’ Raptor au Salon du livre de Theix (56), le dimanche 19 janvier 2014.
(Ne doutons pas qu’à cette occasion, les Lutins Urbains seront heureux de visiter leurs cousins des champs : les Korrigans de la Communauté d’Azeliard…)
Lutinopédia, c’est l’encyclopédie concernant les Lutins Urbains, leur univers, et leurs nombreux cousins.
Grâce à Lutinopédia, les lecteurs de la série Les Lutins Urbains peuvent découvrir des éléments complémentaires que dévoile le Petit Reporter de l’Imaginaire, des anecdotes diverses et variées qu’ils n’auraient pas même osé imaginer…
(Concernant les pas encore lecteurs, Lutinopédia leur démontrera à quel point ils sont dans l’erreur. Vite, chez le libraire ! Ils peuvent aussi cliquer sur “Ajouter au panier” et remplir le formulaire…)
Utilisation :
Les textes de Lutinopédia sont disponibles sous licence “Les Lutins Urbains infestent ton blog pile-poil à l’identique”.
Les citations sont autorisées en contrepartie de la mention : www.les-lutins-urbains.editionsptitlouis.fr
Exemple de bonne utilisation :
pixitop a utilisé les textes de Lutinopédia en citant www.les-lutins-urbains.editionsptitlouis.fr. La semaine suivante, il a gagné un épluche-légumes à une loterie à laquelle il n’avait pas participé ; son pire ennemi s’est présenté à la police pour s’accuser du meurtre de Vercingétorix ; sa concierge lui a offert des fleurs pour le remercier de sa bonne haleine.
Exemple de mauvaise utilisation :
bigdadais_999 a utilisé les textes de Lutinopédia en oubliant de citer www.les-lutins-urbains.editionsptitlouis.fr. Le lendemain, son habitation a été rasée par un troupeau de gnous ; il est devenu ami avec Nabila sur Facebook ; “Vraiment ridicule ce masque de poisson” a été la dernière phrase que lui ont adressée ses amis avant de l’oublier pour toujours.
On s’est beaucoup demandé par quel heureux hasard le tome 1 des Lutins Urbains, L’attaque du Pizz’ Raptor, bénéficie de ce qu’il faut bien appeler une critique unanime : “Tout chaud, tout beau, le nouveau roman jeunesse de Renaud Marhic illustré par Godo” (Peuple féerique)… “Un suspense très agréable, pour tous publics” (Action-Suspense)… “9/10, on s’amuse” (Fantastinet)… “Lutins du matin, malin ! Lutin du soir, espoir ! J’ai aimé” (Les lectures de l’oncle Paul)…
Peut-être faut-il alors revenir sur cette vérité que beaucoup préfèrent ne pas même aborder : il ne fait pas bon contrarier un lutin ! Ni un farfadet. (Sans parler des Korrigans et autres Strubinellous…)
En ce jour d’Halloween, le Petit Reporter de l’Imaginaire a accepté d’entrouvrir ses archives à propos de ce sujet délicat entre tous. Devant les cartes postales et photographies reproduites ci-dessous, on comprend mieux la prudence salutaire dont font preuve aujourd’hui les chroniqueurs littéraires quand il s’agit d’évoquer la série Lutins Urbains et son auteur…

Sur cette carte postale du début du XXe siècle, le monument érigé à Ferryville, puis à Mourenx, “à la mémoire des victimes du Lutin et du Farfadet”…
Sur cette autre carte postale, datée de 1906, une cérémonie au cimetière de Brest. La légende, en bas à gauche, n’est pas moins claire : “Obsèques des victimes du Lutin”…
107 ans plus tard, le Petit Reporter de l’Imaginaire sur les lieux de la cérémonie funéraire jadis dédiée “aux victimes du Lutin”…
Festival du polar de Roissy-en-Brie 2013. Philippe Schroeder, photographe, entraîne Renaud Marhic à l’extérieur pour quelques photos. Tout va étrangement bien…
Surprise ! Au développement, après Tintin, c’est Batman dont la présence est révélée par le cliché. Le super-héros, que l’on a connu plus faraud, semble ici ne pas vouloir dire que ses oreilles sont à lui…
De toute évidence, confronté au Petit Reporter de l’Imaginaire, la chauve-souris n’en menait pas large !
Non content de s’être penché sur le tome 1 des Lutins Urbains, L’attaque du Pizz’ Raptor, le site Fantastinet publie ce jour une éloquente interview de son auteur.
On s’apercevra bientôt que, à cette occasion, une fois encore, Renaud Marhic n’a pas pu cacher bien longtemps sa condition de Petit Reporter de l’Imaginaire…
Nouvelle étape pour Les Lutins Urbains : le salon du livre du Festival Brocéliande Fantastic de Ploermël (56).
Le Petit Reporter de l’Imaginaire y dédicacera le tome 1 de sa série Les Lutins Urbains : L’attaque du Pizz’ Raptor, sur le stand des Éditions P’tit Louis.
À bon lutineur… salut !
Si la réalité dépassait depuis longtemps la fiction, il aura fallu attendre jusqu’à ce jour pour que soit enfin exhumé – 85 ans plus tard – un document attestant que la reconversion de Renaud Marhic en Petit Reporter de l’Imaginaire ne devait rien au hasard…
En date du 22 octobre 1928, le journal L’Ouest-Éclair (ancêtre du quotidien Ouest France) rapportait en effet les tribulations d’un dénommé Marhic, la nuit, sur la lande, bref, là où il ne faut pas quand il ne faut pas !
À la lecture de cet article – Une Légende bretonne : Les Strubinellous de Trémazan – on réalise qu’en matière de lutins, les Marhic ont depuis longtemps roulé leur bosse… On comprend aussi que, si le Petit Reporter de l’Imaginaire a su garder le dos droit, c’est peut-être bien en échange des menus services qu’il rend aujourd’hui aux nabots de tout poil…
Les révélations concernant Renaud Marhic et son rapport à la Féerie se suivent et se ressemblent. Comme en témoigne cette photo d’une collection jadis mise en vente par l’intéressé sur e-bay, et qui prend aujourd’hui tout son sens…
En matière de lutins, la soif du Petit Reporter de l’Imaginaire ne date pas d’hier !
On se souvient des mystérieux et incessants voyages que le journaliste Renaud Marhic commença à effectuer vers Paris à partir de 1995. Sans doute ces pérégrinations auraient-elles pu passer pour déplacements professionnels si n’avait été retrouvée la facture ici reproduite. De toute évidence, Marhic était attendu. Et pas n’importe tout !
À n’en pas douter, petit à petit, le Petit Reporter de l’Imaginaire faisait son nid…
Toutes ces histoires de lutins, de korrigans… On s’est longtemps demandé quelle mouche avait piqué le journaliste et écrivain Renaud Marhic pour qu’il se lance ainsi dans ce que d’aucuns n’ont pas manqué de nommer une “littérature de bas-étage”…
Bien sûr, la déclaration de Marhic, aujourd’hui, aux agences Reuters, AP, et AFP – “Je suis le Petit Reporter de l’Imaginaire” [sic] – est un motif supplémentaire d’interrogations et de commentaires. On citera notamment :
“S’il voulait plier sa carrière, il pouvait pas mieux faire…”
(PPDA)
“Très diminué, le Marhic…”
(Lady Gaga)
“C’est petit, vraiment…”
(Barak Obama)
“Le pauvre… il baisse !”
(Le Dalaï Lama)
Où s’arrêtera la descente ? C’est la question que désormais chacun se pose.
[À suivre…]
On les croyait disparus à jamais, chassés de nos contrées par la modernité.
Erreur ! On peut bien avoir construit des villes à la campagne, les lutins se sont faits urbains !
Et ils n’ont rien perdu de leurs pouvoirs d’agaceries, tracasseries, et espiègleries…
Quel est donc cet inconnu qui s’en prend aux livreurs de pizzas, leur dérobant leur chargement sans jamais faire main-basse sur l’argent ?
Gustave Flicman, jeune policier de la Grosse Cité, croise un soir le voleur. Si ce n’est pas un lutin, ça y ressemble bien…
Mais voilà le coupable arrêté : c’était un simple SDF. Affaire réglée.
Pas pour Gustave ! Qui ne se doute pas que sa quête du Pizz’ Raptor va le mener jusqu’à l’Université d’Onirie. Là où les Lutins Urbains ont trouvé refuge. Sous la protection du mystérieux Professeur B., Docteur en Lutinologie…
Les plus folles rumeurs couraient en ville… Nous étions à la veille d’importantes révélations concernant Renaud Marhic et son rapport à la féerie… les plus turbulents des locataires de son imaginaire en profiteraient bientôt pour effectuer un retour en force… déjà on entendait au loin cet étrange refrain : “Tiens ! Voilà du lutin ! Voilà du lutin ! Voilà du lutin…”
Avec la parution de L’attaque du Pizz’ Raptor, le voile est désormais levé…
1989
Les Lutins Urbains s’installent dans l’imaginaire d’un jeune homme de 24 ans : Renaud Marhic. (Nota Bene : ce grand rêveur ne sait pas encore qu’il deviendra Le Petit Reporter de l’Imaginaire mais porte déjà ses pantalons façon Tintin…)


















