Le Petit Reporter de l’Imaginaire fait partie de ces gens qui ont compris depuis longtemps que mieux vaut parler aux murs qu’à certains humains…
Tous les billets Des écrivains et des lutins, Des musiciens et des lutins, Des dessinateurs et des lutins, et Les lutins font le mur sont extraits de : Le Lutin dans tous ses états – représentation polymorphe du Petit Peuple dans la culture contemporaine, © Renaud Marhic, 2013-work in progress.
📌 Les Lutins Urbains, c’est qui ? c’est quoi ?
Acalak ! acalak ! acalak !
C’est le bruit des Lutins Urbains se rendant au Salon du Livre & de l’Art de Callac (22), le samedi 27 août 2016.
Le Petit Reporter de l’Imaginaire sera là aussi, mais lui, sûrement, fera moins de bruit. Si ce n’est bien sûr celui des pages tournées : L’attaque du Pizz’ Raptor, Le dossier Bug le Gnome, et Les Lutins noirs, il vous expliquera tout ça en “dédicaces contées”…
On a vu il y a peu le Petit Reporter boucler ses valises en prévision du tome 4 de la série Les Lutins Urbains… Le voici sur la route ! À en croire les paysages qu’il traverse, c’est un bien étrange itinéraire que nous réserve cette quatrième aventure…
Quoi qu’il en soit, sac au dos, le Petit Reporter chemine. (Nota Bene : même au milieu de nulle part, il traverse toujours dans les clous…) Et les kilomètres ne lui font pas peur ! Certains l’auraient d’ailleurs entendu fredonner cette célèbre chanson de marche : “It’s a long way to the fourth issue / it’s a long way, to go !”
[À suivre…]
Damgan (56), dimanche 7 août 2016 : emmenés par le Petit Reporter de l’Imaginaire, les Lutins Urbains seront une fois de plus à la fête… Celle de la mer, en l’occurrence.
Mais les châteaux de sable attendront, trop occupé que sera tout ce petit monde à faire se bidonner les petits sans oublier de faire marrer les grands ! En bref, à dédicacer – sans oublier de “conter” – L’attaque du Pizz’ Raptor, Le dossier Bug le Gnome, et Les Lutins noirs.
Les tomes 1, 2, et 3 de la fameuse saga ? Oui, oui… c’est bien ça !
Le Petit Reporter de l’Imaginaire fait partie de ces gens qui ont compris depuis longtemps que mieux vaut parler aux murs qu’à certains humains…
Tous les billets Des écrivains et des lutins, Des musiciens et des lutins, Des dessinateurs et des lutins, et Les lutins font le mur sont extraits de : Le Lutin dans tous ses états – représentation polymorphe du Petit Peuple dans la culture contemporaine, © Renaud Marhic, 2013-work in progress.
📌 Les Lutins Urbains, c’est qui ? c’est quoi ?
À Dormelles (77), les samedi 4 et dimanche 5 juin, le Petit Reporter de l’Imaginaire viendra confirmer ce qu’il a récemment déclaré aux organisateurs des Féeries du Bocage: “Puisqu’on a construit des villes à la campagne, il ne faut pas s’étonner que les ‘êtres de la nature’ aient dû s’adapter à leurs nouvelles conditions de vie.”
Et pour cause, le festival féerique en question est cette année consacrée auxdits êtres de la nature !
À part ça, le Petit Reporter dédicacera : L’attaque du Pizz’ Raptor, Le dossier Bug le Gnome, Les Lutins noirs, tomes 1, 2, et 3 des Lutins Urbains, la grande saga “7-77” ans qui fait se bidonner les petits sans oublier de faire marrer les grands !
Et la dédicace, ben elle sera “contée”…
Attention ! Attention !
On annonce une forte concentration de Lutins Urbains au Salon du Livre Jeunesse de Louargat (22), les samedi 21 et dimanche 22 mai.
Interrogé à ce sujet, le Petit Reporter de l’Imaginaire a déclaré se préparer activement pour la dédicace “contée” de L’attaque du Pizz’ Raptor, du Dossier Bug le Gnome, et des Lutins noirs.
De là à envisager la présence dudit Petit Reporter audit Salon de Louargat, il n’y a qu’un pas que l’on s’autorise allégrement à franchir dans les milieux autorisés.
Des cartes, des jumelles, des habits de voyage, des ustensiles divers et variés… c’est le spectacle qu’offre – à l’heure d’être bouclée – la valise du Petit Reporter de l’Imaginaire !
Assurément, un nouveau périple se prépare et il ne fait guère de doute que celui-là concerne le tome 4 de la série Les Lutins Urbains.
Vers quels horizons lointains le Petit Reporter s’apprête-t-il à entraîner cette fois encore ses lecteurs ? Mystère et boule de gnome !
Une seule certitude : à voir l’ampleur des préparatifs, la route sera longue et poussiéreuse…
[À suivre…]
À l’occasion des prochaines Féeries du Bocage – “Festival de la féerie en région parisienne (Dormelles 77)” – des 4 et 5 Juin 2016, le Petit Reporter de l’Imaginaire répond à quelques questions : les Lutins Urbains, d’où c’est-y que ça vient ?… Maître du monde, c’est pour aujourd’hui ou pour demain ?… C’est quoi le programme si y a pas de neige ?… etc.
Entre le Petit Reporter de l’Imaginaire et le Printemps des Livres de Loudéac (22), c’est déjà une longue histoire… (Voir image)
À l’heure où ledit printemps s’adresse désormais tout entier aux enfants, les Lutins Urbains ne pouvaient donc que répondre encore une fois : “Présents !” (Gageons que pour autant – selon le bon vieux principe du “7-77 ans” –, ils ne manqueront pas de vouloir séduire aussi les parents…)
Bref, le samedi 30 avril 2016, rendez-vous est pris pour la dédicace “contée” de L’attaque du Pizz’ Raptor, du Dossier Bug le Gnome, et des Lutins noirs.
Vous pouvez ranger vos cahiers et sortir en silence, merci.
– Là-bas, dans les Monts d’Arrée…
– Où ça ?
– LÀ-BAS, DANS LES MONTS D’ARRÉE !
Oui, oui, c’est à Botmeur (29) – patrie des Korrigans s’il en est – que le Petit Reporter de l’Imaginaire – à peine revenu de Plumes d’Armor – rouvrira ses valises – le dimanche 24 avril 2016 – pour en laisser échapper les ouvrages de la série “7-77 ans” que l’on sait… (Ou pas ! Pour ceux qui ont manqué le début : L’attaque du Pizz’ Raptor, Le dossier Bug le Gnome et Les Lutins noirs, tomes 1, 2 et 3 des Lutins Urbains.)
Quoi qu’il en soit, les valises ouvertes, ce sera dédicace “contée” pour qui qu’en veut…
– Enfin bref, rendez-vous là-bas…
– Où ça ?
Samedi 23 avril 2015 : le Petit Reporter de l’Imaginaire posera ses valises à Lanvollon (22). Il ne tardera pas à en sortir L’attaque du Pizz’ Raptor, Le dossier Bug le Gnome et Les Lutins noirs, soient les tomes 1, 2 et 3 de la série “7-77 ans” Les Lutins Urbains.
Le reste est affaire de dédicaces “contée”…
(Le soleil déclinant, on verra le Petit Reporter ranger tout ça s’il en reste, ajuster sa cape et sa casquette, et prendre la route pour là-bas, dans les Monts d’Arrée, où il est attendu le lendemain…)
C’est l’une des actrices les plus jeunes et les plus prometteuses de la bookosphère. Chinmoku (silence, en japonais) – avec le chat Shishi – présente chaque semaine dans Le monde Fantasyque des chroniques de livres ou des comptes rendus de manifestations littéraires pertinents, fouillés, et, ce qui ne gâte rien, bien écrits.
Sur Babelio, Chinmoku annonce : “On dit de la fantasy que c’est un genre de littérature qui n’évolue plus, et je veux prouver que le contraire est possible !” Vaste programme, penseront certains ! La blogueuse a récemment fait des adieux très argumentés – et très débattus – à la série-phare Tara Duncan. Elle a aussi passé au crible la série “7-77ans” Les Lutins Urbains…
En attendant de découvrir ici même son avis, voici déjà l’excellent résumé qu’elle a bien voulu en donner :
Plusieurs décennies après notre époque, Paris est devenue ‘La Grosse Cité’, ses habitants sont les groscitiens. Dans ce futur pas si lointain, les marques commerciales ont pris possession du quotidien et sponsorisent tout et n’importe quoi : nourriture, lieux publics…
Gustave est un jeune policier travaillant au commissariat Adinike® ‘Avec-Adinike®-le-sport-c’est-toujours-le-pied !’. Au cours de certaines de ses missions en ville, il se retrouve confronté à de bien étranges événements : des vols de pizzas, des appareils technologiques qui disjonctent bizarrement… Gustave est un grand rêveur, et le voilà embarqué dans l’univers des Lutins Urbains ! On croyait les lutins disparus, perdus dans nos campagnes, mais ils surent fort bien s’adapter à nos villes : ils sont devenus urbains, voilà tout, et plus farceurs que jamais. Entre le Pizz’Raptor, le Troll ou Bug le Gnome, Gustave va avoir du souci à se faire pour faire régner l’ordre dans son quartier. Dans la Grosse Cité s’affrontent secrètement deux organismes, l’Université d’Onirie et la BRO, Brigade de Répression de l’Onirisme ; quand l’un veut faire survivre les lutins, l’autre fait tout son possible pour les faire disparaître de l’imaginaire du peuple. Car, c’est bien connu, les lutins n’existent que si on croit en eux…
Gustave se retrouve pris dans les histoires abracadabrantesques des uns et des autres et ne sait plus sur quel pied danser, s’en sortira-t-il en un seul morceau ?
[Résumé de l’épisode précédent : le Petit Reporter de l’Imaginaire est destinataire d’une série de messages codés qui le conduisent sur le site d’un lavoir désaffecté. Que va-t-il découvrir ?]
Et là… un rassemblement des Nains de Jardin ! C’est à ce phénomène rarissime – parfois appelé “jamboree des gnomes horticoles” – que le Petit Reporter a donc été convié…
Des Nains de Jardin… en HLM ! en semis !
Conscient du privilège qui est le sien, le Petit Reporter observe, furète, ne sait plus où donner de la casquette… Mais pas touche ! L’avertissement est sans équivoque…
Gare aux contrevenants !
Partout, on veille…
Un rapide entretien avec le chef des Nains de Jardin – reconnaissable à sa taille hors normes – et le Petit Reporter quitte discrètement le lavoir.
Quels mystérieux propos ont bien pu être échangés ? Gageons qu’on le découvrira un jour dans quelque nouvel épisode des Lutins Urbains…
1er avril 2016 : casquette vissée sur la tête et cape au vent, le Petit Reporter de l’Imaginaire arpente les rues de son quartier… Soudain, son œil exercé détecte un lutin à même le trottoir…
Compris ! Il s’agit d’un “lutin flécheur”. Son bonnet indique la direction d’un très vieux lavoir…
Le message est clair ! Le Petit Reporter aussitôt accélère…
Pas de doute, c’est ici. Et il se passe quelque chose !
Un bonnet noir, deux bonnets blancs : la voie est libre ! Le Petit Reporter pénètre à l’intérieur du lavoir. Et là…
[À suivre…]
Un site spécialisé en canulars dépassé par la réalité qu’il a créée
Sur le web, les sites comme Le Gorafi – présentant les pires énormités comme autant d’informations vérifiées – font désormais partie du paysage. C’est ainsi, qu’on vient de l’apprendre : “Les Lutins Urbains, [la fameuse série “7-77 ans” de Renaud Marhic, NDLR] c’était un canular !”
L’homme qui lâche le morceau s’appelle Jérôme Lecongre-Chavrier. Webmaster bien connu de la blogosphère humoristique, il se décharge aujourd’hui d’un secret devenu trop lourd à porter. “Marhic tenait une baraque à crêpes dans le XVe, à deux pas de nos locaux. Nous, ça nous faisait du bien d’aller décompresser chez lui après le boulot. Faut dire, Marhic, c’était pas le dernier pour la déconne : il débouchait les cannettes de chouchen avec les dents, jouait des airs de biniou au kazou, et racontait des blagues belges en breton…” On le comprend, tout aurait pu rester bon enfant. C’était sans compter avec l’étrange marotte de l’intéressé. “Déjà, il connaissait beaucoup d’histoires de nains. Notez, ça nous faisait bien rigoler. Il répétait souvent qu’un jour il ferait un bouquin avec ça. Alors, même si on y croyait pas trop, pour l’aider, on s’est cotisé pour lui acheter un traitement de texte…”
Le coup de l’arroseur arrosé
C’est sur un vieux PC portable déniché aux puces de Saint-Ouen que l’auteur des Lutins Urbains va composer le tome I de sa série… “Quand on a lu ça, bien sûr, on s’est un peu méfié : Marhic avait créé des lutins qui existent d’autant plus qu’il y a de gens à croire en eux. Mais c’était trop tard, le site s’était engagé à lancer un canular pour promouvoir son livre s’il l’écrivait un jour…” La machine infernale est en marche, rien ne l’arrêtera plus. “Ensuite, tout est parti très vite en vrille : Marhic se faisait appeler ‘le Petit Reporter de l’Imaginaire’, posait en photo avec Passe-Temps et Passe-Partout… Mais là où on a eu vraiment la trouille, c’est quand les premiers témoignages sont arrivés à la rédaction : certains voyaient des nains partout !” Le site tente alors de faire marche arrière ; en vain. “On est là pour raconter aux gens que la terre est plate et que les poules ont des dents, alors évidemment quand on leur a dit que les Lutins Urbains n’existaient pas, ils nous ont pas crus…”
Un démenti sans conviction
Interrogé via sa page Facebook, Renaud Marhic – pardon ! le Petit Reporter de l’Imaginaire – réfute mollement cette version des faits : “C’est vrai qu’ils m’ont un peu aidé au début. Mais bon, l’affaire aurait fini par sortir un jour ou l’autre. Et ils étaient les mieux placés pour faire éclater la vérité…”
La rédaction
Photo : © Patchwork Agency, 2016
C’est en parlant aux murs que le Petit Reporter de l’Imaginaire a découvert Super-Lapin, photographié au mur d’une clinique vétérinaire brestoise en juillet 2015.
Pour Pâques, il vous l’offre !
Le Petit Reporter de l’Imaginaire fait partie de ces gens qui ont compris depuis longtemps que mieux vaut parler aux murs qu’à certains humains…
Tous les billets Des écrivains et des lutins, Des musiciens et des lutins, Des dessinateurs et des lutins, et Les lutins font le mur sont extraits de : Le Lutin dans tous ses états – représentation polymorphe du Petit Peuple dans la culture contemporaine, © Renaud Marhic, 2013-work in progress.
📌 Les Lutins Urbains, c’est qui ? c’est quoi ?
Donc, le Petit Reporter de l’Imaginaire, quand il n’écrit pas, lit.
Et pas un livre – ou presque ! – où il ne trouve trace de ses petits amis.
Aujourd’hui, Georges Perec (1936-1982) qui, paraît-il, avait d’abord pensé écrire “mais il semblait qu’un sale gnome avait truffé son itinéraire de désagréments”, pour finalement choisir :
Mais l’on aurait dit qu’un mauvais lutin avait farci son parcours d’avatars*.
* La disparition, Georges Perec, Gallimard 1969.
