Le Petit Reporter de l’Imaginaire fait partie de ces gens qui ont compris depuis longtemps que mieux vaut parler aux murs qu’à certains humains…
Tous les billets Des écrivains et des lutins, Des musiciens et des lutins, Des dessinateurs et des lutins, et Les lutins font le mur sont extraits de : Le Lutin dans tous ses états – représentation polymorphe du Petit Peuple dans la culture contemporaine, © Renaud Marhic, 2013-work in progress.
📌 Les Lutins Urbains, c’est qui ? c’est quoi ?
Ça y est, il a tout dit ! Ou presque. En cette période de Noël, c’était sans doute inévitable. Le créateur de la série Les Lutins Urbains vient de se mettre à table…
Rappel des faits :
– 20 novembre : le site Plume Libre propose une interview à Renaud Marhic, alias le Petit Reporter de l’Imaginaire.
– 21 novembre : de nombreuses allées et venues sont observées à proximité du domicile de l’intéressé. De petites silhouettes s’immiscent subrepticement dans son immeuble, disparaissant comme elles étaient apparues. Vers minuit, un carrosse est signalé garé en double-file. (Arrivée peu après, la police ne verbalisera qu’une citrouille.) De toute évidence, Marhic consulte…
– 2 décembre : le Petit Reporter répond enfin. Le parchemin déposé par coursier à cheval au siège de Plume Libre indique : “Fax en panne, désolé. Tout est là. Vous qui l’avez voulu, hein.”
– 9 décembre : le Web découvre, incrédule, ce que Renaud Marhic ne pouvait plus cacher…
Le Petit Reporter de l’Imaginaire fait partie de ces gens qui ont compris depuis longtemps que mieux vaut parler aux murs qu’à certains humains…
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📌 Les Lutins Urbains, c’est qui ? c’est quoi ?
Le Petit Reporter de l’Imaginaire fait partie de ces gens qui ont compris depuis longtemps que mieux vaut parler aux murs qu’à certains humains…
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📌 Les Lutins Urbains, c’est qui ? c’est quoi ?
Fidèle à sa volonté de toujours mieux terrifier les lecteurs de ce blog – et faute d’avoir pu dénicher une panoplie de drone à sa taille –, pour Halloween, le Petit Reporter de l’Imaginaire s’est déguisé en clown !
Le Petit Reporter de l’Imaginaire fait partie de ces gens qui ont compris depuis longtemps que mieux vaut parler aux murs qu’à certains humains…
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📌 Les Lutins Urbains, c’est qui ? c’est quoi ?
Après Télévision Bretagne Ouest (TBO), c’est le journal Le Télégramme qui a demandé quelques mots au Petit Reporter de l’Imaginaire, et ce à l’occasion de la 20e édition du Festival du polar le Chien Jaune. Au menu : les ingrédients d’un bon polar… L’occasion de rappeler le caractère non-conformiste de la série Les Lutins Urbains.
Alors que la 20e édition du Festival du polar le Chien Jaune battait son plein, le Petit Reporter de l’Imaginaire a confié quelques mots à la caméra de Télévision Bretagne Ouest (TBO).
Les habitués le savent, les interventions publiques du Petit Reporter s’accompagnent souvent d’apparition ou de manifestation de personnages imaginaires divers et variés. À ce titre, l’interview à TBO n’a pas fait exception à la règle, puisque, sur l’image arrêtée ci-dessous, on constate la présence d’un des célèbres Minions du non moins célèbre Moi, moche et méchant… (Bienvenu au club !)
Le Petit Reporter de l’Imaginaire : c’est oui ou c’est non ?
Exclusif : sur cette photo volée – extraite de la vidéo surveillance d’une grande galerie commerciale – le Petit Reporter de l’Imaginaire – jusque-là tranquillement attablé devant un café – se jette soudain, micro en main, sur un étrange automobiliste à foulard jaune et bonnet bleu…
– S’il vous plaît ! Cher Maître ! S’il vous plaît ! Un mot seulement !…
– Oui… oui…
– Cher Maître, on attend beaucoup du tome 2 de la série Les Lutins Urbains… Ne pensez-vous pas que, dans une perspective herméneutique, la redondance du propos puisse nuire à l’immédiateté de l’œuvre dans son immanente étrangeté ?
– Oui… oui…
– En d’autres termes, cher Maître, ne faut-il craindre un retour de flamme philologique brûlant aujourd’hui ce que hier on adorait?
– Oui… oui…
– Le proverbe ne dit-il pas : “Un bon nain vaut mieux que qui grandira” ?
– Oui… oui…
– Sans blague, alors, cher Maître… parole ?
– Oui… oui…
– Bon… bon…
Le Petit Reporter de l’Imaginaire joint un mystérieux correspondant…
On l’a vu, le Petit Reporter de l’Imaginaire promène ces temps-ci son micro pour recueillir avis et conseils au sujet du Dossier Bug le Gnome. Le voici qui soudain dégaine son téléphone portable…
– Allô, Bugs Bunny ?
– Euh, quoi d’neuf, Reporter ?
– C’est au sujet du tome 2 : tu sais, ma fameuse série, Les Lutins Urbains…
– Pas d’problème Reporter ! Le héros s’appelle “Bug”, pas vrai ? Qu’est-ce que tu peux espérer d’mieux ?!
– Oui, oui, bien sûr. Mais tu ne crains pas que…
– Tatatata ! Reporter… C’est avec les bonnes carottes qu’on fait la bonne soupe, et je suis sûr que ton Bug le Gnome ne manque pas de fans !
– Bon, tu as sans doute raison, merci Bugs. Le bonjour à Daffy.
Le Petit Reporter de l’Imaginaire en pleine interview.
En ville, on assiste depuis quelques jours à un spectacle étonnant entre tous : le Petit Reporter de l’Imaginaire, micro en main, parcourant les zones les plus reculées, et ce afin de recueillir avis et conseils au plus près des “populations” concernées.
Pas de doute, il consulte. Et la future parution du tome 2 de la série Les Lutins Urbains n’est pas étrangère à l’affaire… Comme en témoigne le dialogue ci-après reproduit :
– Cher ami, nous direz-vous votre sentiment au sujet du Dossier Bug le Gnome ?
– Zooooobu… flechbetch !
– C’est très aimable à vous, mais pouvez-vous préciser ?
– Krabazzzzza mokarine, clout clout peguemen…
– Sans rire ?
– Rec fuittttt !
– Merci du fond du cœur, cher ami. Et bravo pour votre élégance…
Invité au titre de sa littérature adulte, le Petit Reporter de l’Imaginaire ne se fera pas moins une joie de rencontrer (incognito) les lecteurs de ses œuvres “7-77 ans”. Que l’on soit blogueur ou lecteur, on viendra donc sans problème discuter partenariat ou se faire dédicacer (sous le manteau) le tome 1 de la série Les Lutins Urbains, L’attaque du Pizz’ Raptor.
Infos pratiques :
– le Petit Reporter de l’Imaginaire sera facilement reconnaissable à sa casquette (voir photo). Si, par hasard, certains visiteurs du Salon du Livre de Paris portaient eux aussi une casquette, afin d’éviter tout risque de confusion, demandez l’intéressé au Stand C24, (Éditions Terre de Brume) de la Région Bretagne.
– pour toute dédicace sous le manteau, veuillez noter que le manteau n’est pas fourni.
Le Petit Reporter de l’Imaginaire a tiré les rois sous le regard attentif du Pizz’ Raptor (à gauche sur la pizza), ici révélé par le procédé de la photographie infrarouge.
Godo, illustrateur des Lutins Urbains, vous adresse ses vœux…
Le Petit Reporter de l’Imaginaire n’aurait pas dit mieux !
On s’est beaucoup demandé par quel heureux hasard le tome 1 des Lutins Urbains, L’attaque du Pizz’ Raptor, bénéficie de ce qu’il faut bien appeler une critique unanime : “Tout chaud, tout beau, le nouveau roman jeunesse de Renaud Marhic illustré par Godo” (Peuple féerique)… “Un suspense très agréable, pour tous publics” (Action-Suspense)… “9/10, on s’amuse” (Fantastinet)… “Lutins du matin, malin ! Lutin du soir, espoir ! J’ai aimé” (Les lectures de l’oncle Paul)…
Peut-être faut-il alors revenir sur cette vérité que beaucoup préfèrent ne pas même aborder : il ne fait pas bon contrarier un lutin ! Ni un farfadet. (Sans parler des Korrigans et autres Strubinellous…)
En ce jour d’Halloween, le Petit Reporter de l’Imaginaire a accepté d’entrouvrir ses archives à propos de ce sujet délicat entre tous. Devant les cartes postales et photographies reproduites ci-dessous, on comprend mieux la prudence salutaire dont font preuve aujourd’hui les chroniqueurs littéraires quand il s’agit d’évoquer la série Lutins Urbains et son auteur…
Sur cette carte postale du début du XXe siècle, le monument érigé à Ferryville, puis à Mourenx, “à la mémoire des victimes du Lutin et du Farfadet”…
Sur cette autre carte postale, datée de 1906, une cérémonie au cimetière de Brest. La légende, en bas à gauche, n’est pas moins claire : “Obsèques des victimes du Lutin”…
107 ans plus tard, le Petit Reporter de l’Imaginaire sur les lieux de la cérémonie funéraire jadis dédiée “aux victimes du Lutin”…
Sans doute était-il quelque peu imprudent d’annoncer, dès le tome 1 des Lutins Urbains, l’intitulé du tome 2 : Le dossier Bug le Gnome...
Pour qui connaît le dénommé Bug – évoqué ici en bas de page –, il n’est pas étonnant en effet que le “gnominidé des pannes” ait, dès lors, manifesté une certaine impatience à entrer en scène.
En témoigne le bug ayant frappé ce vendredi 25 octobre 2013 Fantastinet, après que celui-là ait consacré un billet à L’attaque du Pizz’ Raptor et à son auteur…
Le Petit Reporter de l’Imaginaire présente donc toutes ses excuses à Fantastinet après que Bug le Gnome ait cru bon de lutiner sa page Facebook, remplaçant de nombreux visuels par la couverture de L’attaque du Pizz’ Raptor ou par la photo de son auteur, cela, on l’aura compris, dans un esprit chauvin typiquement lutin…
Festival du polar de Roissy-en-Brie 2013. Philippe Schroeder, photographe, entraîne Renaud Marhic à l’extérieur pour quelques photos. Tout va étrangement bien…
Surprise ! Au développement, après Tintin, c’est Batman dont la présence est révélée par le cliché. Le super-héros, que l’on a connu plus faraud, semble ici ne pas vouloir dire que ses oreilles sont à lui…
De toute évidence, confronté au Petit Reporter de l’Imaginaire, la chauve-souris n’en menait pas large !
Si la réalité dépassait depuis longtemps la fiction, il aura fallu attendre jusqu’à ce jour pour que soit enfin exhumé – 85 ans plus tard – un document attestant que la reconversion de Renaud Marhic en Petit Reporter de l’Imaginaire ne devait rien au hasard…
En date du 22 octobre 1928, le journal L’Ouest-Éclair (ancêtre du quotidien Ouest France) rapportait en effet les tribulations d’un dénommé Marhic, la nuit, sur la lande, bref, là où il ne faut pas quand il ne faut pas !
À la lecture de cet article – Une Légende bretonne : Les Strubinellous de Trémazan – on réalise qu’en matière de lutins, les Marhic ont depuis longtemps roulé leur bosse… On comprend aussi que, si le Petit Reporter de l’Imaginaire a su garder le dos droit, c’est peut-être bien en échange des menus services qu’il rend aujourd’hui aux nabots de tout poil…
Sans doute n’était-il plus possible de cacher certaines réalités… Sur le document exceptionnel ici publié, Renaud Marhic est l’objet – en plein salon littéraire – d’une manifestation ectoplasmique de grande ampleur. On le voit, ce n’est autre que le fantôme de Tintin qui flotte au-dessus des têtes !
De toute évidence, des forces dont la nature nous échappe avaient décidé de forcer Marhic à reconnaître, une bonne fois pour toutes, sa condition de Petit Reporter de l’Imaginaire…
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